Le Cned, low tech

Reçu hier un e-mail du Cned : "Melvin est inscrit en 4ème et le service de correction par internet ne fonctionne pas pour cette classe" (1). Bigre, c'était pourtant indiqué l'inverse sur le Guide de l'élève que nous avions épluché avant de partir. Et tout est en place sur le site web du Cned, y compris un espace dédié à l'envoi des évaluations en Pdf - avec certes une interface qui doit plus au regretté Caramail qu'aux avancées du HTML 5.
Tant pis, il faudra donc les imprimer et les envoyer par les Postes locales, avec les risques de perte que cela comporte, et attendre d'hypothétiques corrigés (mais où les faire adresser ?). Ou alors, trouver une âme charitable qui fera l'interface en France (écrire au blog qui fera suivre).
C'est d'autant plus rageant que tout le matériel pédagogique est excellent... y compris le contenu en ligne. Mais voilà. 28 ans après le Plan informatique pour tous, le Cned (académie de Rouen) ne sait toujours pas imprimer un Pdf.

(1) Comprendre : "le post-it sur lequel le mot de passe était sauvegardé s'est envolé, et le responsable réseau a la grippe, pas étonnant avec ce climat pourri".

Life in Amed

Ce week-end, nous sommes restés à Amed pour profiter du coin. Le premier mois de notre voyage étant déjà derrière nous, on s'est dit que ça allait passer très vite! Alors, on en a profité! Nous avons testé à peu près toutes les plages le long de la côte.  Toutes aussi belles les unes que les autres,  notamment sous l'eau.

Les garçons ont passé leur temps à chercher des olives, non pas les petites zitounes vertes et violettes de nos collines provençales, mais de jolis
coquillages oblongs et brillants qui se cachent dans le sable. Les locaux sur les plages commencent à nous repérer.  Les touristes passent en général 3 à 4 jours à Amed pendant leur séjour, alors quand ils comprennent que nous y passons un mois, ils sont très étonnés.  Certains sont un peu collants et nous vendraient bien volontiers tour en bateau, partie de pêche,  massages, cours de yoga, etc...on va peut-être se laisser tenter par la partie de pêche en mer avant de quitter ce bel endroit...

Là-haut sur la montagne -Bali by car (2)

Malgré un parcours compliqué et long car toutes les routes indiquées sur Google maps ne sont pas forcément praticables;) nous avons atteint le Lac Batur, qui se situe dans la caldeira du volcan du même nom. Ce qui est surprenant, c'est que le tour du lac est habité. On y cultive des légumes variés sur le bord et il y a une petite activité de pisciculture.

Les différents volcans qui entourent le lac attirent les randonneurs du monde entier. Les guides partent en général en pleine nuit pour atteindre le sommet au lever du soleil. Ce n'est pas encore prévu dans notre planning...à suivre.

Les enfants de la plage

Partout, les enfants sont les premiers à créer du lien avec les nouveaux venus. Sur la plage d'Amed, une petite troupe d'enfants s' est approchée des nôtres, sans doute intrigués par ces collectionneurs de coquillages en herbe juste sortis de baignade et qui comparent déjà leurs récoltes. Avec quelques mots d'anglais et de français glanés auprès des touristes, ils se font comprendre et sont ravis de poser des questions et de jouer avec nous.

Sous l'eau, c'est beau!

Dimanche calme où nous profitons des alentours d'Amed pour faire un peu de masque et tuba.
Les plages sont belles et la barrière de corail toute proche offre une multitude d'occasions de découvrir coraux et poissons multicolores.  En fin de journée, nous avons eu la chance de croiser l'anémone d'une famille de poissons clown. Pas très contents d'être dérangés mais plutôt photogéniques;)

Bali by car (1)

Premier week end depuis la rentrée! L'occasion de partir à la rencontre des Balinais et de découvrir un peu plus cette île si attachante de l'archipel indonésien. Nous avons loué une voiture pour être autonome. La conduite à Bali nécessite de rouler doucement mais sûrement pour éviter les nombreux obstacles (poulets, tas de sable, enfants, et surtout scooters!)
La pêche de 5 heures du matin a été bonne. Les femmes se tiennent en bordure de route avec leurs paniers bien remplis de sorte de gros maquereaux.

Le Pura Lemboyan, temple hindou dont la dernière partie est accessible après 3 heures de randonnée et plus 1700 marches...
En plein soleil, nous nous sommes arrêtés au 3ème temple, ce qui est déjà un bel effort ;)

Les rizières à perte de vue aux environs d'Amlapura, l'une des villes principales de l'est de Bali. Le riz est mis à sécher au soleil au bord des routes.

Le Water Palace de Tirtagangga.

La rentrée sous les tropiques

Comme pour des milliers de petits français, c'est l' heure de la rentrée pour Melvin et Milo.
Ils ont démarré dès lundi en même temps que leurs profs:-)
Le rythme est soutenu mais uniquement le matin... et la vue de la salle de classe en plein air est imprenable sur l'Océan Indien.

Nous sommes installés pour un mois à Amed sur la côte Est de Bali. Le coin est resté très beau et paisible comme lors de notre première visite en 2009.

Vue depuis la terrasse qui se transforme tous
  les matins en salle de classe

L'arrêt manta

L'un des plus fameux spots de snorkeling (ça y est, je suis bilingue) de Nusa Lembongan s'appelle Manta ray. Avec un peu de chance et en se levant tôt, on peut y nager au milieu de ces monstres gentils, paisiblement attablés à gober plancton et autres animalcules.

Hélas pour l'épiderme du plongeur peu couvert, leurs mets favoris semblent être de petites (p*$#@^ de s*&$@* de) méduses diverses et variées dont celles-ci, particulièrement affectueuses :